Pièce 7 - Vue d'une partie du village de Saint-Georges Est après la débâcle du 21 mars 1913

Zone du titre et de la mention de responsabilité

Titre propre

Vue d'une partie du village de Saint-Georges Est après la débâcle du 21 mars 1913

Dénomination générale des documents

    Titre parallèle

    Compléments du titre

    Mentions de responsabilité du titre

    Notes du titre

    Niveau de description

    Pièce

    Cote

    CA SPB PR068-S01-SS02-E04-7

    Zone de l'édition

    Mention d'édition

    Mentions de responsabilité relatives à l'édition

    Zone des précisions relatives à la catégorie de documents

    Mention d'échelle (cartographique)

    Mention de projection (cartographique)

    Mention des coordonnées (cartographiques)

    Mention d'échelle (architecturale)

    Juridiction responsable et dénomination (philatélique)

    Zone des dates de production

    Date(s)

    • [Vers 1913] (Création/Production)

    Zone de description matérielle

    Description matérielle

    1 carte postale: n&b; 13.7 x 8.4 cm

    Zone de la collection

    Titre propre de la collection

    Titres parallèles de la collection

    Compléments du titre de la collection

    Mention de responsabilité relative à la collection

    Numérotation à l'intérieur de la collection

    Note sur la collection

    Zone de la description archivistique

    Historique de la conservation

    Portée et contenu

    Vue d'une partie du village de Saint-Georges Est après la débâcle du 21 mars 1913.

    Identification des bâtisses:
    De droite à gauche, les commerces sur le bord de la rivière Chaudière sont:
    La bâtisse avec l'échelle sur le toit est assez ancienne, elle existait déjà avant 1896 alors qu'elle était occupée par le ferblantier Alfred Matinette. Occupée plus tard par le marchand J.P. Gonthier, plus tard par le restaurateur Siméon Rodrigue. Elle a été occupée en dernier par le restaurant les "7 frères" lorsqu'elle a été incendiée à l'occasion de la débâcle de 1896. Le site était encore vacant en 1991. La bâtisse suivante bordée par un quai dont on voit sortir des pieux, est le commerce d'Albert Rodrigue. En 1945, sur le site de ce commerce on a construit le magasin des enfants de Victor Veilleux, conjointement avec le commerce d'Aristide Roberge. Entre cette bâtisse et la suivante, c'est la sortie du ruisseau d'Ardoise. La dite bâtisse suivante est la Banque des Contons de l'Est incendiée en 1915. La nouvelle banque, devenue entretemps la banque de commerce s'est construite au même endroit. Le commerce suivant avec le toit mansard avec trois lucarnes n'est pas encore identifiée. Elle a brûlé en 1915. Le site a été occupé par la suite, par le commerce de Nicholas Tawell déménagé à Jersey Mills en 1957 pour céder la place à l'agrandissement de la Banque de Montréal. La bâtisse suivante avec le toit plat à l'italienne était occupée entre autres par le barbier Alfred Ferland. Incendié en 1915. Le site a par la suite été occupé par le commerce de J.P.N. Tremblay acheté ensuite par Nicholas Tawell pour en faire son magasin suite à la vente de son premier commerce à la banque de Montréal. Ensuite, la bâtisse avec galerie était occupée par le restaurateur Joseph Fortin et la succursale de P.T. Légaré. Incendié en 1915, le site a été occupé ensuite par le commerce du grossiste J.A. Mathieu, occupé par plusieurs locataires dont mode chez julienne et incendié en 1957 lorsqu'il était occupé par R, Beshro confections. Le site est occupé aujourd'hui par la bâtisse occupée par Yellow.

    Description des commerces sur l'autre côté de la première avenue dont on aperçoit seulement les toits:
    De droite à gauche. Le petit bout de toit pointu est celui du commerce du tailleur Albert Mercier qui était occupé auparavant, notamment lors de la débâcle de 1896, par le libraire et pharmacien Moise Poulin. Bâtisse incendiée en 1915. Albert Mercier a rebâti au même endroit un commerce en briques qui est occupé aujourd'hui par les avocats Thibodeau. La bâtisse suivante dont la façade est surmontée d'un mat était, en 1896, la fromagerie Pelletier. Elle a été transformée par la suite et a été occupée par le marchand Thomas Dallaire de Sainte-Marie. Ce commerce a été vendu en 1910 à Joseph Paradis, Gédéon Gagné et Albert Rodrigue qui lui ont ajouté un vaste département de meubles, incendié en 1915. Gédéon Gagné a bâti en 1916 un commerce en briques sur le même site. Plus tard, vers 1940, il y avait dans cette bâtisse le bureau du Dr Pierre Morisset. Dans les années 1960, il y avait dans cette bâtisse la Banque Canadienne Nationale qui a subi un incendie causant de bons dégâts. Cet endroit est maintenant occupé par le "Jardin des sages" (1991). Ensuite, la double bâtisse suivante, la partie gauche surmontée d'un clocheton vitré avec un mat et la partie droite avec un toit triangulaire au-dessus de 4 colonnes, était celle du marchand Jos. Gagnon. La partie droite est plus ancienne que celle de gauche, incendié en 1915. Jos. Gagnon a rebâti sur le même site, un commerce en briques qui est occupé aujourd'hui par la papeterie Saint-Georges. La bâtisse suivante dont on voit deux fenêtres dans le pignon lequel est surmonté d'un mat, est celle du marchand Charles Grondin, incendié en 1915. Amédée Dionne a rebâti sur le même site, un commerce de briques de deux étages. Commerce occupé par la suite par Albert Veilleux et aujourd'hui par le dentiste Courchênes. Un troisième étage a été ajouté à la bâtisse actuelle.

    Auteur: Photo attribuée à J.A. Gagnon.

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    État de conservation

    Classement

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      Écriture des documents

        Localisation des originaux

        Disponibilité d'autres formats

        Restrictions d'accès

        Délais d'utilisation, de reproduction et de publication

        Instruments de recherche

        Éléments associés

        Éléments associés

        Accroissements

        Identifiant(s) alternatif(s)

        Numéro normalisé

        Numéro normalisé

        Mots-clés

        Mots-clés - Sujets

        Mots-clés - Noms

        Mots-clés - Genre

        Zone du contrôle

        Règles ou conventions

        Dates de production, de révision et de suppression

        Langue de la description

        • français canadien

        Zone des entrées