Zone du titre et de la mention de responsabilité
Titre propre
Dénomination générale des documents
Titre parallèle
Compléments du titre
Mentions de responsabilité du titre
Notes du titre
Niveau de description
Cote
Zone de l'édition
Mention d'édition
Mentions de responsabilité relatives à l'édition
Zone des précisions relatives à la catégorie de documents
Mention d'échelle (cartographique)
Mention de projection (cartographique)
Mention des coordonnées (cartographiques)
Mention d'échelle (architecturale)
Juridiction responsable et dénomination (philatélique)
Zone des dates de production
Date(s)
-
[1896] (Création/Production)
Zone de description matérielle
Description matérielle
1 carte postale: n&b; 13.7 x 8.4 cm
Zone de la collection
Titre propre de la collection
Titres parallèles de la collection
Compléments du titre de la collection
Mention de responsabilité relative à la collection
Numérotation à l'intérieur de la collection
Note sur la collection
Zone de la description archivistique
Historique de la conservation
Portée et contenu
La première avenue de Saint-Georges Est, le 16 avril 1896, la veille de la grande débâcle de 1896. L'eau a déjà commencé à envahir la première avenue.
Descriptions des commerces:
Côté gauche de la rue, de l'avant-plan en s'éloignant:
La fromagerie Pelletier. Déplacée par l'eau et les glaces, cette bâtisse a été replacée au même endroit. Son "look" a ensuite été changé. Le marchand Thomas Dallaire de Sainte-Marie a acheté cette bâtisse comme succursale de Saint-Georges. En 1910, Thomas Dallaire vendit son commerce à Joseph Paradis, Gédéon Gagné et Albert Rodrigue. Au commerce déjà existant, ils ajoutèrent un vaste département de meubles. Ce commerce a été incendié en 1915. La bâtisse suivante était le commerce du libraire et pharmacien Moise Poulin qui est sur la galerie avec son épouse. Cette bâtisse a aussi été déplacée par les glaces. Replacée au même endroit cette bâtisse a été agrandie quelque peu à droite et lui on ajouté une galerie sur les deux étages. Elle a occupée après Moise Poulin, par le tailleur Albert Mercier. Ce commerce a aussi été détruit en 1915. Le commerce suivant est celui du marchand Joseph Gagné (J. Gagné marchand). Déplacée aussi par l'eau et la glace suite à cette débâcle, cette bâtisse a été replacée au même endroit mais, cependant, on l'a reculée. On lui a ajouté par la suite, une galerie a deux étages composée de quatre colonnes carrées avec balcon au deuxième étage, le tout surmonté d'un fronton triangulaire qui arrivait juste en-dessous des deux fenêtres que l'on voit dans le pignon. Cette bâtisse a aussi été incendiée en 1915. La dernière maison avec balcon au deuxième étage était celle de Napoléon Drouin. Par la suite elle a été occupée par Pierre Fortin. Cette maison a été épargnée par le feu de 1915. Elle a probablement été démolie par la suite pour céder la place à la construction de la première banque Royale en 1923.
Côté droit de la rue, de l'avant-plan en s'éloignant:
Le premier commerce est celui du marchand Georges Lemelin. Son épouse est sur le balcon (Carmélite Lemay). Bâtisse aussi déplacée par les glaces. La petite annexe à droite avec deux lucarnes, a été complètement détruite. La partie principale s'est retrouvée au milieu du chemin. Le corps principal de la bâtisse a par la suite été replacé au même endroit. Il semble que cette bâtisse ait été démolie par la suite pour céder le terrain pour la construction de la Banque des Cantons de l'Est en 1910. La banque a été incendiée en 1915.
La bâtisse suivante était occupée par le forgeron Ludger Poulin. Déplacée aussi par les glaces il semble que cette bâtisse ait été replacée ensuite au même endroit, mais on l'aurait placée, le côté des trois fenêtres donnant sur la rue. Si c'est bien cette bâtisse qui a été replacée à cet endroit, c'est le commerce occupé par la suite par le marchand Albert Rodrigue. Le toit aurait donc été prolongé sur la façade en un fronton triangulaire soutenu par quatre colonnes carrées avec une galerie au deuxième étage. Le commerce d'Albert Rodrigue a par la suite été agrandi par la droite. Ce commerce épargné par le feu de 1915 a finalement été incendié au début des années 1940.
La bâtisse suivante avec balcon au deuxième étage était le commerce du ferblantier Alfred Martinette. Déplacé aussi lors de la débâcle et replacé au même endroit. Cet endroit était occupé par le marchand J.P. Gonthier vers 1917. Occupé plus tard par le restaurateur Siméon Rodrigue, cette bâtisse était occupée à la fin par le restaurant "Les sept frères" lorsqu'elle a été incendiée lors de la débâcle de 1896. La dernière bâtisse avec toit à deux versants et 5 lucarnes, était le deuxième magasin du marchand Ephrem Poulin. En 1910, on retrouve à cet endroit le magasin de confections de D.J. Dallaire qui part finalement pour Pont-Rouge en 1913. Occupé par différents commerces, dont Rhéaume et cie., Adélard Veilleux et la Banque d'Hochelaga lorsque détruit par un incendie en avril 1921. Le site est occupé aujourd'hui par la bijouterie Ephrem Poulin (pas de parenté).
Noms de quelques personnages:
L'homme à gauche à côté du chien est Fortunat Veilleux. Celui qui lui fait face est Thomas Morin à Moise. L'homme avec la barbe blanche est le boucher "le père Jos. Lessard". Finalement, le marchand Georges Lemelin se trouve dans le groupe d'homme à droite (celui à l'arrière, à droite du poteau téléphonique).
Photo du photographe J.A. Gagnon de Saint-Georges Est.
Zone des notes
État de conservation
Classement
Langue des documents
Écriture des documents
Localisation des originaux
Disponibilité d'autres formats
Restrictions d'accès
Délais d'utilisation, de reproduction et de publication
Instruments de recherche
Éléments associés
Accroissements
Identifiant(s) alternatif(s)
Numéro normalisé
Numéro normalisé
Mots-clés
Mots-clés - Sujets
Mots-clés - Lieux
Mots-clés - Noms
Mots-clés - Genre
Zone du contrôle
Règles ou conventions
Dates de production, de révision et de suppression
Langue de la description
- français canadien