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Archival description
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Fonds Robert Cliche
CA SPB PR020 · Fonds · [ca 1867] - 1973

Ce fonds d’archives présente Robert Cliche sous toutes ses facettes d’homme public. On y trouve sa correspondance personnelle, politique et celle pour nomination de juge en chef adjoint à la Cour provinciale, des discours, notes et conférences de presse, des pièces des procès suivants : La Corporation d’East Broughton contre la Corporation du village d’East Broughton (Robert Cliche agit pour la demanderesse), Gilles et Jacques Beaudoin contre Henri Cliche et les curés et marguilliers de la Fabrique de Saint-Joseph (Robert Cliche procureur d’Henri Cliche), Clermont Binet contre Sa Majesté la Reine (Robert Cliche procureur de Clermont Binet). On y trouve aussi le Rapport de la commission d’enquête sur le Sanatorium Ross de Gaspé (Robert Cliche conseiller juridique de la commission), des images de Saint-Joseph et de l’émission télévisée «Dans tous les cantons», des caricatures de Robert Cliche par Normand Hudon, des résultats et analyses d’élections en Beauce, dossiers du Nouveau parti démocratique (NPD : membres et organisation, informations et communiqués, congrès, positions du parti, Robert Cliche candidat NPD dans la Beauce, élections 1965 et 1968, mémoires du congrès du NPD en 1969), des études et textes de conférences d’autrui (éducation, fédéralisme, mouvement laïc de langue française, problèmes économiques et sociaux, régionalisation et aménagement régional, socialisme et autres), des dossiers de presse (formule Fulton-Favreau, Québec et le fédéralisme, politiciens québécois et canadiens, divers); ainsi que des portraits de famille. Il contient des documents textuels, des photographies et autres documents, dont de nombreuses coupures de presse.

Untitled
CA SPB PR020-S01-P08 · Item · Ça 1904
Part of Fonds Robert Cliche

De gauche à droite les maisons sont identifiées comme étant celle de Charles Grondin (l’homme dans l’escalier), le marchant Jos Gagnon, suivi du magasin général Thomas Dallaire, ensuite le tailleur Albert Mercier et la maison de Napoléon Drouin (plus tard Pierre O Fortin).