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Notice d'autorité
Doyon-Ferland, Madeleine
2020-P020 · Personne · 1912-1978

Madeleine Doyon-Ferland est née le 12 mai 1912 à Beauceville. Elle est la fille de Joseph Doyon à Sigefroid et de Joséphine Poulin, cultivateurs.
Elle obtient un diplôme supérieur de l'École normale de Beauceville puis en 1934, un baccalauréat ès arts du collège Jésus-Marie de Sillery. De 1934 à 1936, elle s'inscrit à temps partiel à la faculté de philosophie de l'Université Laval, à la faculté des lettres à partir de 1935 et à la faculté de médecine en 1936-1937, ses études étant entrecoupées par l'enseignement. En 1948, elle termine une maîtrise ès lettres à l'Université St. Joseph au Nouveau-Brunswick. De 1934 à 1944, elle enseigne au niveau secondaire et collégial au collège Jésus-Marie de Sillery où elle s'emploie à promouvoir le théâtre. Elle joue les premiers rôles dans quarante-huit pièces. Elle enseigne le français, langue seconde durant les étés 1935 à 1938. Vers 1942, elle donne des cours d'été en français à l'Université Laval puis elle devient secrétaire des cours d'été. Sa carrière universitaire débute vraiment en 1944, quand Luc Lacourcière et elle fondent les Archives de folklore. Elle en demeure secrétaire jusqu'en 1955. Une des premières femmes professeurs de carrière à l'Université Laval, elle partage son temps entre ses cours à la faculté des lettres et ses recherches sur le folklore canadien-français. Son frère Dominique-Marie, père dominicain, s'intéresse aussi à ce domaine. En tant qu'ethnologue, elle étudie surtout le costume canadien, les jeux et divertissements traditionnels, les rites de passage et les coutumes saisonnières, les arts populaires. Elle publie des articles dans les Archives de folklore et dans The Journal of American Folklore. En 1967, elle signe la section "Arts populaires" dans le livre Esquisses du Canada français qui commémore le centenaire de la Confédération. En 1980, Andrée Paradis présente des textes inédits de Madeleine Doyon-Ferland, Jeux, rythmes et divertissements traditionnels. Madeleine Doyon-Ferland est membre du comité des manifestations artistiques du centenaire de l'Université Laval en 1952 et membre du comité organisateur du premier Carnaval de Québec en 1954 et 1955. En 1960-1961, elle est présidente du comité fondateur des Ballets de Québec et en 1962, du Théâtre lyrique de Nouvelle-France. De 1968 à 1972, elle siège à la Commission Gendron sur la situation de la langue française et les droits linguistiques au Québec. Elle décède le 12 janvier 1978.

Journal l’Éclaireur-Progrès
2020-C008 · Collectivité · 1908 -

En 1908, J.-T. Fortin, imprimeur de Baie-Saint-Paul, fonde le journal L'Éclaireur à Beauceville et met ses presses à la disposition de sa clientèle. L'affaire prend de l'ampleur et en 1940, l'Imprimerie L'Éclaireur se présente comme la plus grosse imprimerie des districts ruraux du Québec. En 1943, le vétérinaire Henri-G. Hébert lance l'hebdomadaire Le Progrès à Saint-Georges-de-Beauce. En 1952, la direction du journal change. En 1954, ses administrateurs achètent L'Éclaireur de Beauceville et les deux journaux sont publiés par le même éditeur pendant six ans. En 1960, la fusion des deux entreprises crée L'Éclaireur-Progrès de Saint-Georges. Le journal est publié par Hebcor, Éditions Chaudet pendant des années puis est acheté par Québécor en 1984. L'Éclaireur-Progrès intègre Beauce Nouvelle en 1989.

Fabrique de Saint-Frédéric
2020-C009 · Collectivité · 1851 -

Le décret d'érection canonique de la paroisse de Saint-Frédéric date du 7 juillet 1851. La paroisse de Saint-Frédéric est détachée de la paroisse de Saint-Joseph et du township de Broughton et érigée canoniquement le 7 juillet 1851. La première chapelle est construite en 1851, le presbytère en 1852. En 1853, la Fabrique de Saint-Frédéric n'est pas encore régulièrement établie mais des syndics administrent les affaires de la paroisse. En 1856, a lieu la première élection de marguilliers ainsi que l'érection civile de Saint-Frédéric (28 août). L'église est bâtie en 1857. Elle renferme des tableaux d'Eugène Hamel et d'Antonio Masselotte. Le presbytère, vétuste est vendu en 1893 et remplacé par un nouvel édifice. Un tableau du curé Edouard-François Moore, peint par Ludger Ruelland, orne ses murs. Les Soeurs de Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours arrivent à Saint-Frédéric en 1898 pour assurer l'enseignement. En 1918, le décret d'érection canonique de la paroisse de Saint-Jules, auparavant desservie par la cure de Saint-Frédéric, est prononcé. En 1929-1930, la Fabrique procède à de grands travaux de restauration dans l'église, ainsi qu'à des achats de tableaux.

Fortier, Hugues
2020-P023 · Personne · 1877-1955

Hugues Fortier est né en 1877 à Sainte-Marie de Beauce, fils d'Alphonse-Tancrède Fortier, médecin et de Marie-Eliza Anna Taschereau. Il termine ses études en droit en 1900 et est admis au Barreau de la province de Québec en 1901. Il s'associe avec les avocats Léonce Cliche de Saint-Joseph et Lorenzo Dutil de Saint-Georges. Hugues Fortier est élu député libéral de Beauce à l'Assemblée législative le 15 décembre 1921. Réélu en 1923, il est nommé juge à la Cour des sessions de la paix à Québec. Il est magistrat de police de 1929 à 1947. Il meurt en 1955.

Ferron, Madeleine
2020-P022 · Personne · 1922-2010

Madeleine Ferron est née le 24 juillet 1922 aux Trois-Rivières, fille de Joseph-Alphonse Ferron, notaire à Louiseville, et d'Adrienne Caron. Le couple a eu d'autres enfants dont Jacques Ferron, écrivain et Marcelle Ferron, peintre. Madeleine Ferron fait ses études primaires à Louiseville et ses études secondaires chez les Soeurs de Sainte-Anne à Lachine. Elle suit des cours de lettres à l'Université de Montréal et des cours d'ethnographie à l'Université Laval en auditrice libre. En 1945, elle épouse Robert Cliche, avocat de Saint-Joseph-de-Beauce. Le couple a trois enfants: Marie-Josée, Nicolas, maire de Ville Saint-Joseph de 1980 à 1986, et David. Pendant 32 ans, elle vit dans la Beauce, source d'inspiration de nombre de ses oeuvres. Madeleine Ferron s'implique dans des organismes à caractère culturel. De 1976 à 1978, elle siège au conseil d'administration du Conseil des monuments et sites du Québec. En 1977 et 1978, elle est membre du conseil de la Bibliothèque centrale de prêts de la région de Québec. En 1978, elle siège au conseil d'administration de l'Université Laval. Elle est un des membres fondateurs de la Société du patrimoine des Beaucerons, dont elle est administratrice pendant des années. De 1978 à 1984, Madeleine Ferron est commissaire à la Commission des biens culturels du Québec. De 1979 à 2000, elle préside la Fondation Robert-Cliche. Pendant les années 1980, elle siège au conseil d'administration de l'Institut québécois de recherche sur la culture. Elle fournit de nombreux textes à des journaux et à des revues. Elle participe également à des émissions de radio et de télévision. Oeuvres de Madeleine Ferron : 1. Oeuvres d'imagination
En 1966, elle publie "Coeur de Sucre", aux Éditions H.M.H. à Montréal. Ce recueil de contes est réédité en 1971, en même temps que la parution de son premier roman "La fin des loups-garous". Ce roman est réédité chez Fides en 1982. En 1971, paraît chez H.M.H. son deuxième roman intitulé "Le Baron écarlate". En 1977, elle publie aux Éditions La Presse, "Le Chemin des Dames" qui est son deuxième recueil de nouvelles. Chez le même éditeur en 1981, devait paraître une troisième série de nouvelles sous le titre d'"Histoires édifiantes". En 1982, un roman historique, "Sur le Chemin Craig", est publié aux Éditions Stanké à Montréal. En 1984, elle collabore à un ouvrage collectif "Dix nouvelles humoristiques", aux éditions Les Quinze à Montréal : sa nouvelle s'intitule "Les vertus incestueuses de la mère-patrie". En 1987, elle publie chez Boréal un recueil de nouvelles: "Un singulier amour". En 1988, "Coeur de Sucre" est réédité dans la collection Bibliothèque québécoise. En 1989, "La fin des loups-garous" est réédité dans cette même collection. En 1989, elle publie chez Boréal un recueil de nouvelles : "Le Grand théâtre". En 1993, "Le Chemin des Dames" est réédité dans la collection bibliothèque québécoise. En 1993, elle publie chez Boréal un récit: "Adrienne". 2. Essais : Avec la collaboration de son mari, Robert Cliche, Madeleine Ferron écrit un essai ethnographique, "Quand le peuple fait la loi: la loi populaire à Saint-Joseph-de-Beauce", publié en 1972 par les Éditions Hurtubise de Montréal. Toujours avec la collaboration de Robert Cliche, paraît chez le même éditeur en 1974, un ouvrage intitulé "Les Beaucerons ces insoumis. Petite histoire de la Beauce 1735-1867". En 1982, ces deux essais sont réédités en un seul volume. En 1980, elle collabore à un ouvrage à la mémoire de Robert Cliche, paru aux Éditions Les Quinze. Madeleine Ferron collabore à la rédaction du "Dictionnaire biographique du Canada", publié conjointement par l'Université de Toronto et par l'Université Laval : elle rédige la biographie de Jacques Voyer (mort en 1843) in Volume VII et celle de Gautron, dit Larochelle (1808-1859) in Volume VIII. En 1984, elle collabore à "La vie quotidienne du Québec", un ouvrage collectif de Mélanges à la mémoire de Robert-Lionel Séguin, aux Presses de l'Université du Québec. Son texte s'intitule "L'étole de monsieur Séguin". En 1987, elle collabore à un ouvrage "Les Cliche" pour un article "Hommage aux femmes Cliche". En 1987, elle écrit la préface de l'Histoire d'Inverness. En 1988, aux Éditions Les Presses Laurentiennes, elle participe à un collectif: "Témoignages à Marguerite Yourcenar". 3. Collaboration occasionnelle à des revues : Occasionnellement, elle collabore aux revues suivantes: Maclean, France-Québec, l'Actualité, Critère, Possibles, Châtelaine, Liberté, Question de culture, le Sabord. Prix et distinctions : En 1966, Madeleine Ferron est finaliste pour le Prix France-Québec, avec son roman La fin des loups-garous. Elle remporte le Premier Prix du Concours de nouvelles historiques avec "Napika", publiée dans la revue Châtelaine en 1967. En 1971, elle est finaliste pour le Grand Prix Littéraire de Montréal, avec son roman Le baron écarlate. En 1975, elle reçoit la récompense de l'Ordre du Mérite de la Chaudière. En mars 1978, Le chemin des Dames est proclamé "Livre du Mois" et "Choix du Libraire" en avril de la même année. En 1978 encore, elle est nommée présidente d'honneur des Productions culturelles Chaudière, conjointement avec son mari Robert Cliche. En 1987, elle est finaliste pour le Prix France-Québec avec Un singulier amour ainsi que pour Les Grands prix de la Ville de Montréal. En 1992, elle est récipiendaire de l'Ordre National du Québec, à titre de Chevalier. En 1979, elle fait partie du jury pour le Prix de l'Institut canadien de Québec. En 1980, elle est nommée présidente de la Ligue de l'Épilepsie et elle devient membre du Comité du regroupement pour les droits politiques du Québec. Le jury, pour l'attribution du Prix Denise Pelletier, la compte parmi ses membres en 1980, de même que pour celui de la Médaille Luc Lacoursière. En 1979 et en 1980, elle siège comme membre du jury pour le Conseil des Arts de Montréal. En 1982, elle gagne le Prix des Éditions La Presse. En 1984, elle fait partie du jury qui décerne le Prix du Gouverneur général et du jury qui décerne les Bourses A. Madeleine Ferron est décédée le 27 février 2010.

Drouin, Willie
2020-P021 · Personne · 1905-1983

Willie Drouin est né vers 1905. Il fut journalier à Saint-Joseph. Il gardait les animaux des Soeurs de la Charité. Il aurait travaillé dans le secteur de l'isolation des bâtiments. Il est décédé en 1983.

Garant, Anna-Marie
2020-P024 · Personne · 1894-1980

Anna-Marie Garant est née le 9 avril 1894. Elle est la fille de Gustave Garant, qui fut shérif de Saint-Joseph-de-Beauce pendant quelques années et maire de Sainte-Marie de 1884 à 1891 et de 1910 à 1914. Sa mère était Amanda Desruisseaux. Anna-Marie Garant fait ses études supérieures au couvent des Soeurs de la Congrégation de Notre-Dame à Sainte-Marie. Elle complète ses études d'infirmière à l'hôpital Saint-Michel-Archange, aujourd'hui Robert-Giffard. Elle revient à Sainte-Marie pour donner des cours privés en techniques infirmières et visiter les malades à domicile. Anna-Marie Garant aurait souhaité être actrice mais ses parents désapprouvaient ses projets. Elle monte des pièces de théâtre au couvent et au collège de Sainte-Marie. Elle organise des concerts de musique. Elle s'emploie aussi comme bénévole. Anna-Marie Garant meurt le 3 avril 1980.

Garneau, Georges
2020-P025 · Personne · 1854-1943

Georges Garneau, fils d'Isaïe Garneau et de Délima Lambert, est né le 24 juillet 1854 à Sainte-Julie, aujourd'hui Laurierville, dans le comté de Lotbinière. Il s'établit à Saint-Joseph-de-Beauce comme sellier, vers 1872, après avoir appris son métier chez un maître-sellier de la Côte du Passage à Lévis. Parmi ses cinq frères et trois soeurs, certains émigrent aux États-Unis. Il se marie avec Victorine Bergeron, fille du capitaine Charles Bergeron de Sainte-Croix-de-Lotbinière le 26 septembre 1877. Son épouse et son enfant meurent lors de la naissance de ce dernier les 24 et 23 septembre 1878 respectivement. Georges Garneau se remarie à Saint-Joseph avec Angélina (Marie-Angélique) Cliche de Saint-Joseph, fille de Vital Cliche à Catoche et de Sophie Lessard, le 2 février 1880. De cette union naissent treize enfants dont sept meurent en très bas âge. Survivent cinq filles et un garçon. Georges Garneau est conseiller, puis maire de Saint-Joseph de 1898 à 1901. Il décède le 28 décembre 1943, à quatre-vingt-neuf ans. Georges Garneau fils est né en 1894. Il étudie à l'Université Laval et devient arpenteur. Il fait de l'arpentage en Abitibi, à Maria en Gaspésie et au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Le palais de justice de Saint-Joseph conserve la partie de son greffe d'arpenteur qui va du 26 juin 1919 au 19 juillet 1929. Il épouse Cécile Lessard le 15 janvier 1924, fille d'Eleucippe Lessard, commerçant de bois et d'Eugénie Paradis, enseignante et organiste de Saint-Joseph. Leur naît un fils, Bernard, le 15 janvier 1924. Bernard Garneau étudie aux couvents de Saint-Joseph et de Vallée-Jonction. De 1939 à 1945, il fréquente le collège de Sainte-Marie où il termine sa dixième année commerciale. Il étudie un an à l'Académie de Québec, au cours scientifique, et deux ans à l'école Ouellet, au cours préparatoire à l'université. Il complète sa formation par trois ans à l'École de papeterie de Trois-Rivières. Bernard Garneau travaille chez Les Papiers Rolland de Saint-Jérôme, au contrôle de la qualité. Il est technicien en traitement thermique à Sorel Industries et dessinateur à Marine Industries. En 1956, il se fait policier à la Gendarmerie royale du Canada. Il est affecté à Rivière-du-Loup, Québec, Knowlton en Estrie et Ottawa où il devient expert en empreintes digitales et en photographie judiciaire. Il occupe ce poste durant six ans. Il oeuvre en expertise d'écriture. Il travaille un an à Montréal et cinq ans à Québec. Il quitte la Gendarmerie royale du Canada en 1969. Il devient officier de sécurité et enquêteur pour les fraudes et vols à la Banque canadienne nationale. Il prend sa retraite en 1982. Il est chargé de l'inspection des analyses à l'Hippodrome de Québec. Il a épousé Suzanne Beaudin de Granby le 24 avril 1961. Le couple a une fille et s'est installé à Saint-Nicolas, comté de Lévis en 1974.

Gilbert, Léandre
2020-P026 · Personne · 1907-1987

Léandre Gilbert est né le 7 juin 1907 à Saint-Joseph-de-Beauce. Ses parents, Richard Gilbert et Alma Cloutier, sont cultivateurs. Il se fait colon en Abitibi pendant une courte période de temps. De retour en Beauce, il travaille comme bûcheron dans le Maine. Pendant plusieurs années, il possède le moulin à scie J.-L. Vachon & Fils de Saint-Joseph. Il oeuvre pour la voirie municipale. Par la suite, il occupe les postes de gardien de la paix, gardien de prison et huissier à Saint-Joseph. Léandre Gilbert épouse Blanche Babineau en 1927. Durant les années 1970, il participe à une émission télévisée de Radio-Canada sur les surnoms beaucerons. Il meurt le 6 avril 1987.

Godbout, Arthur (famille)
2020-F003 · Famille · 1872-1985

Arthur Godbout est né à Saint-Vital-de-Lambton en 1872. Après des études en droit, il s'installe à Saint-Georges où il épouse Corine Poulin le 13 mai 1901. Il exerce sa profession dans le cabinet Bouffard et Godbout, à Saint-Joseph et à Saint-Georges. Arthur Godbout se présente comme candidat libéral à l'élection partielle du 31 janvier 1902 où il défait le candidat ministériel Blaise Letellier avec 906 voix de majorité. Par la suite, il est sans cesse réélu et plusieurs fois par acclamation. Il travaille surtout à l'établissement des colons et à l'ouverture de nouvelles paroisses. Pendant son mandat, la Beauce voit la construction de ponts de fer, d'écoles, l'amélioration des routes et l'obtention d'octrois de toutes sortes aux cultivateurs. Il démissionne en 1921. Le 18 octobre 1921, il est nommé magistrat du district de Beauce. En 1927, il préside la commission royale créée pour indemniser les citoyens lésés par l'élévation des eaux du lac Saint-Jean, par l'érection des barrages de la Grande Décharge et de la Petite Décharge. Il meurt le 12 mars 1932.

Henriette Godbout est née vers 1905. Elle a vécu toute sa vie dans la maison familiale de Saint-Georges. Elle est décédée vers 1982. Son frère Antoine Godbout est né vers 1913. Il étudie la musique à la Sorbonne, à Paris. Il y suit aussi des cours de peinture, avec Jean Soucy. Antoine Godbout devient organiste à l'église de Saint-Roch à Québec. Il exerce la même profession à l'église L'Assomption de Saint-Georges-de-Beauce. Il continue à peindre en amateur en Beauce. Il suit des cours de Charles Bégin. Il meurt à Saint-Georges vers 1985.