Zone d'identification
Type d'entité
Forme autorisée du nom
forme(s) parallèle(s) du nom
Forme(s) du nom normalisée(s) selon d'autres conventions
Autre(s) forme(s) du nom
Numéro d'immatriculation des collectivités
Zone de description
Dates d’existence
Historique
Alphonse Parent est né à Saint-Isidore (Dorchester) le 17 septembre 1880, fils d’Hubert Parent et de Vitaline Duquet. Marie-Amanda Gosselin est née le 8 mars 1879 à Saint-Jean-Chrysostome, fille de Marcellin Gosselin (1846-1888) et de Rose de Lima Fouquet. Alphonse Parent et Marie Gosselin se marient le 25 août 1903 à Saint-Jean-Chrysostome. De leur union naissent 15 enfants dont 5 deviennent des prêtres et 3 des religieuses. Blanche (religieuse S.C.I.M. Sœur Saint-Grégoire de Naziance, née le 9 octobre 1904), Alphonse-Marie (Mgr, 1er avril 1906 - 7 octobre 1970), Joseph-Marie, Imelda, Herménégilde, Stanislas, Évariste (prêtre des Missions étrangères et prisonnier au Japon), Germaine, Jean-Baptiste, Gemma, Albert, Louis Philippe, Marguerite-Marie, Joseph Louis-Philippe, Marguerite. Marie Gosselin est institutrice. Laurette Nadeau Parent (8 novembre 1923 -). Elle est née le 8 novembre 1923 à Saint-Lambert (région de Québec). Elle fait ses études à l’École Normale Jésus-Marie de Beauceville. Dès l’âge de 16 ans, elle enseigne à Saint-Narcisse puis à Saint-Isidore (Dorchester). En août 1945 elle épouse Grégoire Parent, 4e fils d’Ernest Parent et d’Alice Jolicoeur (8 garçons et 1 ou 2 filles), propriétaire du Moulin à scie du rang du Bras, adopté par Théophile Parent (oncle) époux d’Armoza Gourde. Elle est recherchiste dans le cadre de la publication en 1984 du volumineux document Saint-Isidore notre patrimoine retrouvé. Elle est membre du conseil d’administration de la bibliothèque municipale. Armoza Gourde (février 1896 - mai 1976) (Beurrerie de Saint-Isidore). Elle étudie au Couvent du Bon Pasteur de Saint-Isidore puis devient enseignante dans le Rang de la rivière à Saint-Isidore. Mariée à Théophile Parent, elle éduque Grégoire Parent, fils d’Ernest Parent (frère de Théophile) et d’Alice Jolicoeur. Durant la 2e Guerre mondiale, ils signent pour que Théophile devienne alors leur fils adoptif et officiellement cultivateur. Elle habite sa maison du 229, rang du Bras, Saint-Isidore, où, durant 17 ans jusqu’en 1962, elle vit avec Théophile et Laurette Parent, avant de déménager au village. Elle est très active dans sa communauté; présidente du Cercle des Fermières, Amicale du Bon Pasteur, organisatrice de bingo. Elle est secrétaire de La Beurrerie de Saint-Isidore, coopérative de plus de 150 membres, où, une fois par mois, les cultivateurs vont se faire payer "en argent sonnant". Ce travail de secrétariat est alors rémunéré 100 $ par mois. Elle meurt en mai 1976.