Zone d'identification
Type d'entité
Forme autorisée du nom
forme(s) parallèle(s) du nom
Forme(s) du nom normalisée(s) selon d'autres conventions
Autre(s) forme(s) du nom
Numéro d'immatriculation des collectivités
Zone de description
Dates d’existence
Historique
Le Musée et centre régional d’interprétation de la Haute-Beauce a été incorporé en octobre 1979 et, après quatre années d’opérations, il changeait, en octobre 1983, sa dénomination sociale pour celle d’Écomusée de la Haute-Beauce, musée territoire. Par suite d’actions constantes entreprises depuis 1978 et par l’implication réelle de la population de son territoire à ses activités, l’Écomusée de la Haute-Beauce, application pratique d’un nouveau concept muséologique né en France dans la dernière décennie, gagnait ses lettres de noblesse et finissait par acquérir une reconnaissance officielle tant au Québec qu’au Canada et à l’étranger. Le concept d’écomusée se différencie du concept traditionnel du musée par trois éléments qui furent mis de l’avant et approfondis par les fondateurs de l’Écomusée de la Haute-Beauce dès le départ : la nature du territoire, qui doit être homogène tant par sa géographie que par son histoire, la décentralisation des activités et des équipements sur l’ensemble du territoire démarqué et finalement l’intégration de la population comme concepteur et réalisateur des programmes de développement culturel. Le musée était situé dans le presbytère de Saint-Évariste. Il ferme ses portes à l’automne 2000. Après tri effectué par l’administration de l’Écomusée lors de sa fermeture, les archives ont été cédées au centre d'archives régional de la Société du patrimoine des Beaucerons le 4 décembre 2000 et à l’hiver 2001. Les collections muséologiques ont été cédées au Musée Marius-Barbeau au même moment. À noter que toutes les archives ont été transportées par le Musée Marius-Barbeau et que celui-ci a remis graduellement des documents à la Société du patrimoine des Beaucerons sur une période de 3 ans, soit entre les années 2000 et 2002